Vous avez accepté d’être juré aux Trophées de la Com. Sud-Ouest. Pour quelles raisons ?
Tout d’abord, j’ai été très honorée de votre proposition, à titre personnel mais aussi et surtout pour l’AFCI, dont je suis la co-présidente depuis deux ans et que je vais représenter aux Trophées.
Est-ce votre première expérience en tant que juré dans un concours de campagnes de com ?
Ces dernières années, j’ai eu l’occasion de faire partie du jury d’autres événements (Grands Prix Stratégie, Heavent Awards). Cela a été à chaque fois une expérience très enrichissante : de par la diversité des projets que l’on est amené à évaluer, et aussi par les échanges entre jurés. Certains projets nous amènent à remettre nos propres idées en question.
Pour leur 8ème édition, les Trophées sont placés cette année sous le signe du Grand 8. En rapport avec votre métier et l’univers de la communication, qu’est-ce que cette thématique vous évoque ?
Je devine qu’il faut s’attendre à tout, que vous préparez une sélection pleine de surprises, et que je m’apprête à vivre une aventure palpitante !
Quel a été votre plus grand frisson en tant que communicante ?
Les minutes qui précèdent l’ouverture d’un stand lors d’un salon… la consécration après des mois de préparations ! Et la rencontre avec des personnalités venues visitez le stand de votre entreprise.
Une évolution dans votre pratique professionnelle à partager avec nous ?
Un peu tôt pour le dire. Avec la crise sanitaire, je constate combien la digitalisation de la communication interne s’est accélérée et a fait évoluer de manière significative nos pratiques. Un défi est devant nous : comment garder le meilleur de ces nouveaux outils et refaire vivre le collectif en entreprise.