Vous avez accepté d’être juré aux Trophées de la Com. Sud-Ouest. Pour quelles raisons ?
Je connais les Trophées de la Com depuis mes études à l’ISEG Bordeaux, avoir l’occasion aujourd’hui de passer de « candidats » lorsque j’étais en agence de publicité à « Juré » était quelque chose dont j’avais envie depuis longtemps.
Est-ce votre première expérience en tant que juré dans un concours de campagnes de com ?
Il s’agit de ma première expérience et j’ai surtout hâte d’assister aux délibarations avec les autres jurés pour comparer nos points de vus, nos façons d’interpréter les campagnes que vous avons choisies.
Pour leur 8ème édition, les Trophées sont placés cette année sous le signe du Grand 8. En rapport avec votre métier et l’univers de la communication, qu’est-ce que cette thématique vous évoque ?
Cela m’évoque les énormes changements que la communication a connu ces 10 dernières années, un véritable « roller coaster » aussi bien pour les annonceurs que pour les agences d’avoir à s’intéresser chaque jour aux nouvelles problématiques et aux nouveaux supports qui apparaissent.
Quel a été votre plus grand frisson en tant que communicant ?
J’en ai eu quelques-uns mais surement ma participation à la création de la première campagne de publicité d’Instagram au Monde, ou encore la refonte complète de la présence Social Media de Groupama et la création d’un programme de contenus pour Renault autour du Rugby, de la F1 et du cinéma.
Une évolution dans votre pratique professionnelle à partager avec nous ?
Aujourd’hui indépendant, ce que j’aime c’est la manière de plus en plus directe de travailler avec les annonceurs.