Sup de Pub valorise l’idée et la responsabilité comme moteurs de la communication

Partenaire historique des Trophées de la Com. Sud-Ouest, Sup de pub est une école qui forme des communicants créatifs et des créatifs stratèges, en insistant sur l’importance de réfléchir à l’impact et aux valeurs de chaque prise de parole. Elle a à cœur de former des communicants qui vont s’insérer dans des formes hybrides d’entreprise, comme peuvent l’être une agence, un collectif mais aussi des services intégrés en entreprise.

Magali Pagliai, Directrice Sup de Pub Bordeaux

À la question posée à Magali Pagliai, Directrice du campus bordelais, pourquoi soutenir si fidèlement cette manifestation, la réponse est évidente !
« Il est essentiel de soutenir et défendre les compétences en région et combattre l’idée encore bien ancrée du « Hors de Paris, point de salut » ! ».
Sup de Pub Bordeaux a de nombreux étudiants en alternance chez l’annonceur mais l’ADN de Sup de Pub, c’est l’agence. « Les PME/TPE en région font de plus en plus appel à des freelances. Il y a une forme de crise de confiance, de défiance vis-à-vis des agences. L’agence a cette liberté de proposition, de ton, continue Magali.

Elle est là pour accompagner l’annonceur afin qu’il saute le pas. Á ce titre, il est important de défendre les agences qui trouvent les « big idea ». D’ailleurs pour les Trophées de la Com. Sud-Ouest, les prix sont présentés par les agences. Les Trophées défendent et récompensent l’idée, la qualité de la réalisation, toutes les valeurs d’une bonne école. » 

En quoi parrainer le prix de la communication globale est-il une évidence pour Sup de Pub ? 

« Nous évoluons dans un environnement où nous sommes tous très sollicités. Trouver une belle idée, c’est bien mais la décliner en cohérence, c’est ce qu’il y a de plus difficile. Il doit y avoir un liant. Nos étudiants participent à des concours aussi pour cette raison, leur faire toucher du doigt qu’une bonne idée ne suffit pas et que c’est dans son exécution et sa cohérence que l’on va trouver la pertinence d’une communication impactante. Cela leur permet également de se frotter à la dimension très opérationnelle d’un projet. À qui je parle ? Pourquoi je parle ? Comment mesurer l’impact ?

Une école qui place l’employabilité et la responsabilité au cœur de son dispositif de formation

« Pour répondre aux besoins du marché, nous avons une dynamique constante d’ouverture de programmes spécialisés en cycle Master comme « Brand Content & communication éditoriale » ou encore une 5ème année dédiée à la communication RSE.Le projet de dernière année de parcours consiste à monter une start’up. Cela permet à ces jeunes professionnels d’obtenir une vision globale de l’entreprise et donc d’être des communicants avertis sur la compréhension des enjeux, avec plus de maturité dans l’exercice de leur fonction future. Certains vont jusqu’à concrétiser leur projet en créant leur entreprise, et sont incubés à Technowest ou dans l’incubateur du Groupe INSEEC.U. Ils proposent des solutions pour lutter contre le harcèlement en entreprise (Cuidam), lancent un bracelet anti-agression (MyEli)…
Durant toute leur formation, les étudiants participent à des tables rondes sur des sujets comme l’inégalité homme-femme, le racisme, le sexisme, avec comme prisme la responsabilité du communicant dans les stéréotypes véhiculés. Un pro de la com doit réfléchir avant de faire. Nous les sensibilisons à l’éthique de leur métier, à leur engagement citoyen et nous les faisons réfléchir aux conséquences de leurs actes, notamment sur les réseaux sociaux. La mission d’une école, c’est évidemment d’ouvrir le champ des perspectives, de mettre en avant des marqueurs identitaires forts afin qu’ils prennent conscience de ces sujets et ne pensent pas que ça n’arrive qu’aux autres.

Bénédicte Delu de Cal, fondatrice de BLOW YOU UP, coach, consultante RSE et communication responsable, membre du CA de l’APACOM, et membre bénévole de l’équipe Trophées de la Com. Sud Ouest.