[PARTENAIRE] ISCOM : Encourager la créativité pour former des communicants passionnés

Partenaire des Trophées de la com. Sud-Ouest pour la 3ème année, l’ISCOM est associé aux Matins de l’APACOM et a soutenu le récent lancement de l’Observatoire des métiers de la com. Guillaume Petit, Directeur de l’ISCOM Bordeaux, nous en dit plus sur les raisons de cet engagement.

Pourquoi ce partenariat entre l’ISCOM Bordeaux et l’APACOM ?

Tout simplement parce que la défense et la valorisation de nos métiers de communicants sont l’ADN de l’APACOM. A l’ISCOM, nous formons de futurs communicants, de futurs créatifs. A travers l’APACOM, ces jeunes en formation peuvent appréhender un réseau professionnel qui sera le leur demain. Le fait de pouvoir rencontrer des créatifs et des communicants chevronnés dans différents secteurs d’activité est essentiel pour nos étudiants. Et puis l’APACOM, ce n’est pas uniquement Bordeaux. C’est également un rayonnement au-delà de la Gironde, sur l’ensemble de la région Nouvelle-Aquitaine. Une ouverture qui me semble extrêmement importante !

Quels sont les points différenciants de l’ISCOM ?

ISCOM signifie Institut Supérieur de la Communication. Le mot « Institut » prend ici tout son sens. Nos promotions sont volontairement compactes pour permettre un suivi sur mesure de chaque étudiant, de la 1ère à la 5e année. Par ailleurs, notre école est ultra professionnalisante. Sur les 5 années de cursus, plus de 2 ans et demi sont dédiés aux stages et aux contrats d’alternance. Enfin, l’ISCOM se distingue par la puissance du réseau de ses anciens. Nous avons 17 000 alumni dont plus de 500 en Nouvelle-Aquitaine. Cette année, sur nos 65 intervenants, 5 sont diplômés de l’ISCOM Bordeaux. Nous sommes une jeune école mais plus de 90 % de nos diplômés sont déjà en activité ! Une belle mise en perspective pour nos étudiants actuels.

Trois valeurs de l’ISCOM Bordeaux qui vous semblent essentielles ?

L’éthique professionnelle, l’ouverture sur les autres et un encouragement passionné à développer la créativité sous toutes ses formes. Je rajouterais un quatrième point : l’ISCOM Bordeaux est une véritable communauté ! En l’espace de 4 ans, nous avons su créer une vraie ambiance d’école et un formidable esprit de solidarité.

Les dernières actus de l’ISCOM ?

A la rentrée, nous ouvrons 2 programmes spécifiques : l’un sur le planning stratégique et l’autre sur la communication internationale avec un programme intégralement en anglais.

L’ISCOM Bordeaux parraine cette année le prix « Evénementiel ». Comment vos étudiants vont-ils s’emparer de ces Trophées  ?

L’lSCOM va naturellement être partie prenante de la toute nouvelle compétition étudiante. J’aime beaucoup l’idée de rassembler les étudiants des différentes écoles grâce à cette nouveauté. C’est notre mission à tous d’enclencher cette dynamique pour mieux lancer ces jeunes sur la voie de leurs futurs métiers ! Par ailleurs, les étudiants de l’ISCOM vont aussi participer à la cérémonie, rencontrer leurs pairs et être aux premières loges pour apprécier la qualité des créations des lauréats et des nominés. Le fait d’assister à ce rendez-vous incontournable de la créativité fait partie intégrante de notre approche pédagogique.

Dernière question adressée à l’ancien Président de l’APACOM. Quel regard portez-vous sur l’évolution de l’Association ?

Au moment où nous fêtons la 10e édition, j’ai une petite larme à l’œil car c’est sous ma présidence qu’ont été créés les Trophées. Donc pour moi, 10 ans après, ça perdure et c’est formidable ! Ce que je trouve fabuleux, c’est la façon qu’a l’APACOM de constamment se réinventer. Cette incroyable capacité de rester professionnel et en parallèle, de s’ouvrir sur les nouvelles tendances et les nouveaux métiers. Dernièrement, sous l’impulsion de notre nouvelle présidente Laëtitia Richez, un Club des Créatifs s’est mis en place. Si le monde de la com est constamment en évolution, l’association ne se contente pas de coller à l’actualité. Elle anticipe, elle se projette. Donc rendez-vous dans 10 ans pour le 20e anniversaire des Trophées !

Propos recueillis par Bernadette Pellerin-Py
Photo : Esma Belbachir

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