Pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ?
J’ai débuté mon parcours dans le secteur de la communication en agence, avec une spécialité dans les relations presse et les relations publiques. Grâce à la confiance accordée par Guillaume Petit*, je suis intervenu ponctuellement à l’EFAP Bordeaux en parallèle de mon activité professionnelle, puis j’ai rejoint pleinement cette école en qualité de directeur adjoint. J’ai ensuite continué d’évoluer dans le secteur de l’Education en devenant directeur de différentes écoles de commerce jusqu’en octobre 2022, date où j’ai pris la direction de Sup de Pub.
Quelle est la spécificité de votre école ?
Sup de Pub, dont le campus se situe aux Chartrons depuis 2008, accueille près de 800 élèves chaque année et permet à nos étudiants de se former aux métiers de la communication, du numérique et de la création. Nous avons un parcours en cinq ans qui permet de faire de l’alternance dès la troisième année. Notre but est de favoriser l’employabilité de nos étudiants en formant des jeunes qui connaitront les besoins des entreprises, notamment la construction d’une marque, et sauront y répondre.
Qu’est-ce qui vous a motivé à adhérer à l’APACOM ?
J’ai commencé à m’intéresser à l’APACOM dès mon travail en agence. J’ai tout de suite été séduit par la possibilité de pouvoir échanger avec mes pairs. C’est très précieux ! Ensuite, je pense qu’il est nécessaire de s’investir pour sa filière pour qu’elle se développe, c’est pour cela que j’ai adhéré à l’APACOM. Je me suis naturellement engagé sur la thématique de l’employabilité des étudiants en communication en organisant des événements de recrutement.
Sup de Pub s’est tout de suite engagée dans l’édition 2023 des Trophées de la Com Sud-Ouest…
Oui en effet, Sup de Pub est un partenaire historique de cette belle cérémonie, et cette année nous sommes engagés financièrement pour parrainer le prix du meilleur film publicitaire (NDLR : Ce prix récompense le meilleur film publicitaire promouvant un produit ou un service : Pub TV / Pub Cinéma, Pub digital inférieur à 1 min). C’est tout simplement une continuité de notre engagement. Le prix du film publicitaire a d’ailleurs été une évidence ! La pub est dans l’ADN de notre école, c’était le prix qui avait le plus de sens. Il faut savoir également que c’est un nouveau prix, et Sup de Pub, en tant que vivier des communicants de demain, tient à valoriser et encourager les nouvelles formes de communication ! Nous souhaitons aller toujours plus loin dans le développement de la filière.
Vous savez sans doute qu’une compétition étudiante aura lieu ?
Oui bien entendu ! Et nous incitons nos étudiants à y participer, à amener leurs créations et si possible à gagner ! Déjà dans le cadre scolaire, nous faisons en sorte que nos étudiants travaillent sur des cas concrets en étudiant des briefs réels faits par des agences locales ou nationales. C’est très important de leur permettre de travailler sur des situations concrètes.
Pour en revenir aux Trophées, nous sommes d’autant plus heureux que nos étudiants participent à la compétition car ils pourront mettre leur créativité et leur professionnalisme au profit de l’action vertueuse de l’association Colosolidaire qui permet à des enfants défavorisés de partir en vacances.
Un dernier mot sur la communication ?
Les métiers de la communication sont des métiers riches et stimulants ! D’une part, nous aidons les marques à se construire, d’autre part, nous sommes à l’écoute et au service du consommateur. Le consommateur a un besoin, et notre job à nous, c’est d’entendre sa demande et d’y répondre. Nous devons être innovants et nous réinventer en permanence, c’est passionnant !
* Directeur de l’ISCOM Bordeaux et ancien directeur de l’EFAP
Propos recueillis par Camille Loubens
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